CÉLÉBRONS LES FEMMES GRUTIÈRES QUI ÉLÈVENT LEUR MÉTIER À DE NOUVELLES HAUTEURS.

- 12/02/2024 -

PORTRAIT DU JOUR:

Interview avec:  

Audrey Leger en formation grue à flèche relevable de catégorie 2

et Loan Graziani en formation CACES R487

 

 

L'évolution du métier de grutière a pris une tournure significative ces dernières années, marquée notamment par le changement de comportements socioculturels.

On observe une diversification de la main-d'œuvre, avec des entreprises de travaux publics prenant des initiatives en accordant des responsabilités à ces femmes. Ainsi, ce métier a également été influencé par les formations proposées pour faciliter l'accès à cette profession.

 

PORTRAIT DES FEMMES D'ACIER

 

Audrey vient de Paris. Après avoir changé d'orientation professionnelle, elle décide de suivre une formation pour devenir grutière. C'est alors qu'elle entame une reconversion grâce à Vinci, qui propose des emplois dans ce domaine à ce moment-là.

"Essayer c'est l'adopter."

 

Après avoir testé les grues, le métier lui a beaucoup plu. À ce jour, elle compte 16 ans d'expérience en tant que grutière de catégorie 1.

Aujourd'hui, Audrey passe une semaine en formation pour évoluer dans les grues à flèche relevable et passer en catégorie 2. Pour elle, il est nécessaire de continuer à s'exercer et d'anticiper l'offre et la demande de ses futurs clients.

Après avoir fait la demande à son entreprise Colas, elle nous fait l'honneur de descendre dans le sud de la France pour se former à Ecir Formation. Le centre lui offre l'opportunité d'allier théorie et mise en pratique, en lui proposant également des exercices de nuit pour l'informer sur les dangers potentiels.

 

 

Quel conseil donneriez-vous aux femmes qui envisagent de poursuivre une carrière dans les grues à tour ?

"Grutière est un métier à haute responsabilité. Pour celles qui envisagent de le poursuivre, je souhaite qu'elles s'intègrent au mieux. Elles ne doivent pas hésiter à se faire une place, sachant qu'elles ont la possibilité de s'adapter."

 

Quels sont les aspects les plus gratifiants de votre travail dans les grues à tour ?

"C'est tellement bénéfique de savoir que la journée se passe en sécurité grâce à notre contribution. Je ressens de la fierté, et cela m'a permis de m'améliorer et surtout de m'affirmer. Aujourd'hui, je me sens respectée sur les chantiers. Après avoir fait mes preuves, l'équipe m'a traitée avec bienveillance."

 

Comment avez-vous découvert Ecir Formation, et quel est votre avis sur le contenu de cette formation ?

"C'est grâce à mon entreprise que j'ai découvert Ecir Formation. Ce centre est génial ; en une semaine, j'ai vraiment appris. Les formateurs sont investis d'une mission, et l'on ressent qu'ils aiment leur métier !"

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Loan, à 19 ans, a déjà tracé son chemin ! Depuis son enfance, elle rêve de travailler dans une grue à tour. Après avoir réalisé un BTS Transport Logistique à l'âge de 18 ans, elle se tourne vers le monde des Travaux Publics. Son objectif est de passer sa certification ainsi que son titre professionnel. Loan sait qu'à terme, elle pourra en bénéficier en commençant par l'intérim. Aujourd'hui, elle se forme auprès de l'Ecir Formation, après quoi elle pourra faire ses preuves. L'Ecir étant à quelques kilomètres de son secteur habituel, c'est tout naturellement qu'elle se tourne vers eux.

 

Comment avez-vous connu l’Ecir Formation et que pensez vous du contenue de cette formation?

"J'habite dans le secteur, et un ami qui se forme déjà dans ce centre me l'a recommandé. Cela s'est fait de bouche à oreille. On sent que les formateurs sont passionnés par ce métier, ils sont pleins d'énergie."

Quels aspect de la manipulation des grues à tour vous intéressent le plus?

"Être en hauteur me procure une sensation agréable, je suis admiratif de la vue. De plus, une fois en cabine, vous vous retrouvez seul, c'est satisfaisant."

Qu’est-ce qui vous a le plus motivé à suivre une formation dans ce domaine?

"Depuis mon enfance, je rêve de monter dans ces grues géantes. Chaque fois que je passais devant, j'étais impressionné. Aujourd'hui, j'ai l'occasion d'en faire mon métier. L'Ecir m'a permis de concrétiser tout cela."